Les substances psychoactives sont utilisées pour aider à contrôler la douleur. Pour cette raison, plusieurs médicaments en contiennent. Si leur consommation est encadrée par une ordonnance médicale et qu’elle est contrôlée, les chances de développer une dépendance sont moindres. En revanche, une prise régulière et non contrôlée sur une longue période peut provoquer une dépendance qui découle de la tolérance du corps à ces produits. Souvent, les signes de la dépendance s’expriment par une envie soudaine ou compulsive de consommer.
Toute consommation non contrôlée de n’importe quelle substance psychoactive peut causer une surdose. Il est important de savoir en reconnaître les signes et de connaître les gestes à poser.
Les substances psychoactives sont utilisées pour aider à contrôler la douleur. Pour cette raison, plusieurs médicaments en contiennent. Si leur consommation est encadrée par une ordonnance médicale et qu’elle est contrôlée, les chances de développer une dépendance sont moindres. En revanche, une prise régulière et non contrôlée sur une longue période peut provoquer une dépendance qui découle de la tolérance du corps à ces produits. Souvent, les signes de la dépendance s’expriment par une envie soudaine ou compulsive de consommer.
Toute consommation non contrôlée de n’importe quelle substance psychoactive peut causer une surdose. Il est important de savoir en reconnaître les signes et de connaître les gestes à poser.
Elles se classent en 3 grands groupes selon les effets qu’elles procurent sur le système nerveux central.
Perturbateurs ou hallucinogènes
Se caractérisent par leurs effets qui désorientent ou perturbent les sens de l’utilisateur. (ex.: cannabis, champignons magiques ou ecstasy)
Dépresseurs
Se caractérisent par des effets de ralentissement ou d’engourdissement de la personne. (ex.: opioïdes, alcool, GHB ou héroïne)
Stimulants
Propulsent l’excitation ou l’agitation de la personne. (ex.: amphétamines, cocaïne ou méthamphétamines)
Dans une situation où une personne consomme plus de substances psychoactives que son corps ne peut en supporter, elle commencera à présenter des signes et des symptômes de surdose. Notamment :
Pour tous les cas de surdose, la naloxone, un antidote spécifique aux opioïdes, peut sauver une vie si elle est administrée adéquatement et rapidement. Elle renverse temporairement les effets d’une surdose d’opioïdes. La naloxone est sécuritaire et ne pose pas de danger pour la santé de la personne intoxiquée, ni pour la santé d’une personne qui n’est pas intoxiquée aux opioïdes.
Le Québec est l’une des deux seules provinces canadiennes à offrir à sa population un programme d’accès à la naloxone qui est gratuit et sans prescription dans les pharmacies communautaires.
Aussi, si vous avez pris des drogues ou si vous en avez sur vous, la Loi sur les bons samaritains secourant les victimes de surdose vous protège contre des accusations de possession simple de drogues. Cette loi s’applique à la personne qui demande de l’aide et à tout le monde présent sur place lorsque l’aide arrive.
Si vous avez des doutes, que vous désirez arrêter de consommer ou que vous connaissez quelqu’un qui pourrait être aux prises avec une dépendance, il est possible d’être accompagné par des professionnels.
Le Centre d’amitié autochtone de votre région
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